1860-1880
The « Parisian »
Under the Second French Empire, a new phenomenon appeared in affluent circles: “the Parisian”. These dolls had a head, bust and sometimes bisque members. Their heads and sometimes arms and hands are Bisque. Their articulated body was manufactured either out of leather, wood or the gutta-percha and was consistent with beauty standards of that time: waists, chests and hips were well developed. Their severe looking faces of distinguished women with their simple makeup, their mouths shut and their eyes expressive and fixed. Often, their ears were furnished with pendants, their hair was wisely styled and sometimes adorned with a hat.
They were dressed in splendid, elegant and high-quality outfits. These clothes were made by many fashion Houses of suburbia Saint-Honoré in Paris. Even though they were intended as toys for girls, these dolls were refined, especially when they had a complete fashion trunk kit, furnished with miniaturized accessories. These fashion doll models had various functions and created great excitement.
1900-1940
Decorative Figurines:
While Parisian dolls were children’s toys, other dolls with a feminine and adult silhouette were created by adults for the happiness of adults. They are considered to be the direct doll descendant of yesteryear Pandora heiresses. Radiguet and Shoemaker had deposited in 1880 dolls statuettes, similar to Paris, but not articulated, 43 cm high and on wooden pedestals with a metal rod fit in one of the bisque legs. These decorative dolls featured the left arm folded and are now very hard to find.
Dames Laffitte and Désirat created in 1900 a new type of figurines with heads and limbs in wax (created by the Grévin workshops) which aired in the novelties of the Parisian fashion. These unique pieces had considerable success until the end of the 1920s. In the United States, during the period 1930-50, composition fashion dolls were popular where only the arms were linked and associated with patterns for seamstresses. These brands included Minikins of M.Nielson and Fashiondol.
1860-1880
La Parisienne
Sous le Second Empire Français, une nouveauté fait fureur dans les milieux cossus : « la parisienne ». Ces poupées avaient une tête, un buste et parfois des membres en porcelaine. Leur tête et quelquefois leurs bras et leurs mains sont en biscuit. Leur corps articulé était fabriqué soit dans le cuir, le bois ou la gutta-percha et était conforme aux canons de beauté de cette époque : la taille fine et la poitrine et les hanches sont développées. Leur visage offrait un aspect plutôt sévère de dames distinguées par leur maquillage sobres, leur bouche était fermée et leurs yeux fixes expressifs. Souvent, leurs oreilles étaient garnies de pendentifs, leurs cheveux étaient sagement coiffés et quelques fois chapeautés.
Sur le plan vestimentaire, elles étaient vêtues de splendides toilettes d’une élégance discrète et de très grandes qualités. Ces vêtements étaient confectionnés par les multiples Maison de couture du faubourg Saint Honoré à Paris. Quoique qu’elles fussent destinées comme jouet pour jeunes filles, ces poupées étaient d’un raffinement, plus particulièrement lorsque elles possédaient un trousseau complet, garnit d’accessoires miniaturisés. Ces poupées mannequins de mode ont des fonctions diverses et elles ont connu un grand engouement.
1900-1940
Figurine décorative
Alors que les parisiennes étaient des jouets d’enfant, d’autres poupées ayant une silhouette féminine et adulte ont été créé par des adultes pour le bonheur des adultes. Elles sont considérées comme les héritières directes des poupées Pandore d’antan. Radiguet et Cordonnier avaient déposé en 1880 les poupées statuettes, semblables aux Parisiennes, mais non articulées, hautes de 43 cm et posées sur des socles en bois d’où la tige métallique s’insérait dans les jambes, en biscuit. Ces poupées décoratives, à caractéristique bras gauche replié, sont aujourd’hui très difficiles à trouver.
Mesdames Laffitte et Désirat créèrent en 1900 un nouveau type de figurines à tête et membres en cire (réalisées par les ateliers Grévin) qui diffusait, dans les nouveautés de la mode parisienne. Ces pièces uniques ont eu un succès considérable jusqu’à la fin des années 1920. Dans les années 1930-50, aux États-Unis, les fashion dolls, en composition, étaient populaires où seuls les bras étaient articulés et étaient associés à des patrons pour couturières. De ces marques, citons Minikins de M.Nielson et Fashiondol.